Monsieur François Fillon est-il en mission et quelles
missions ? Mission de restauration du prestige de l’école, de la réformer ou
mission de revenir au conservatisme, au conformisme éducatif ?
On peut s’étonner de la volonté inébranlable de notre
ministre de réformer l’école dans son ensemble et dans ses aspects
institutionnels depuis qu’il a pris les rênes de ce joyau qu’est le
ministère de l’éducation nationale et de la recherche. Monsieur Fillon
affirme vouloir rendre l’école plus juste, plus efficace, plus ouverte. Or
les mesures jusqu’ici annoncées, défendues et imposées, et ce n’est pas la
future loi d’orientation actuellement en discussion qui apportera un net
démenti, ne semblent pas s’orienter vers cette école plus juste, plus
efficace et plus ouverte.
1)
Le
nouveau conseil de discipline au service de la liberté de l’EPLE ?
Que souhaite Monsieur Fillon en modifiant la composition du
conseil de discipline depuis la rentrée 2004, le nombre de personnels
internes est renforcé par rapport aux usagers, élèves et parents ? en
réinstaurant les punitions collectives alors que les textes de juillet 2000
qui affirmaient les principes généraux du droit dans les EPLE arrivaient à
peine à maturité dans les esprits ? en redonnant le pouvoir ultime au
conseil de classe, et donc aux enseignants, de faire redoubler un élève ? en
supprimant les travaux personnels encadrés (TPE) en terminales au profit du
bachotage ? La finalité de ces mesures consiste-t-elle à rendre l’école plus
juste, plus efficace, plus ouverte. On peut tout de même en douter.
La composition du conseil de discipline était effectivement
une aberration, elle excluait l’adjoint du chef d’établissement et elle
bloquait certaines décisions.
S’il fallait à juste titre réintroduire l’adjoint, il ne
fallait pas trop déséquilibrer la composition au seul profit des personnels,
mettant de fait fin à l’obligation de dialogue, de remédiation, de
solutions alternatives. La tentation normale est d’utiliser le pouvoir dont
on dispose et il est à craindre que le nombre d’exclusions définitives
s’amplifiera avec cette nouvelle composition du conseil de discipline.
Beaucoup de collègues vivent des souffrances insoupçonnées, sont démotivés,
ne se sentent pas considérés, et la tentation naturelle est d’exclure
l’objet prétendu de leurs maux, faute de pouvoir entamer une épreuve de
force avec leur institution, leur hiérarchie, craignant désormais d’être
touchés au portefeuille. Cette tentation existait déjà, elle risque de
croître exponentiellement désormais. Pourquoi s’obliger à comprendre, à
mesurer, à proposer, à dialoguer quand on peut se passer plus aisément de
l’objet du délit, du vilain petit canard qui interpelle, met en difficulté,
crée de l’anormalité où tout doit être normé ?
2)
Les
punitions collectives au service de la liberté pédagogique ?
La réinstauration des punitions collectives, même si dans
la circulaire cette expression n’est jamais employée, constitue non
seulement un non sens éducatif mais aussi un fort recul, une capitulation
devant la force, le déni de démocratie. Cette réinstauration va créer au
sein des EPLE des tensions permanentes. Là encore, les textes de juillet
2000 ont subi une entorse notoire. Après une période de tergiversations,
chacun commençait à trouver son compte et ses intérêts dans l’application de
ces textes qui avait introduit au sein des EPLE les principes généraux du
droit : la proportionnalité des sanctions qui les rendent éducatives,
l’individualisation, une faute, une personne, le débat contradictoire, la
vérité n’est détenue par personne, elle est souvent au milieu.
Ces textes nous contraignaient à passer par des phases,
des étapes et des mesures appropriées en fonction de la faute et de la
personne de l’élève. Celui-ci était devenu sujet, acteur de ses actes. Sa
parole était entendue, même si elle restait insatisfaite. Le but ne
consistait pas à satisfaire sa parole, mais à l’entendre, à la prendre en
compte, à la valoriser. Certes, ces textes ont été vécus par le corps
enseignant (professeurs, CPE) et par certaines directions comme une défiance
face à leur autorité et à leur légitimité, certes, leur application n’était
pas toujours aisée, certes, ils compliquaient la gestion de certaines crises
mais ils commençaient à rentrer dans les mœurs, chacun se sentant
responsable de ses actes, élèves, comme personnels. Il ne suffisait pas de
demander une sanction pour l’obtenir de facto. Les étapes consécutives
imposées par les textes de juillet 2000 avant l’application d’une sanction
constituaient souvent des moments où l’on pouvait faire chuter la tension ,
établir une médiation entre les parties, rapprocher les points de vue, et
contractualiser « un nouveau vivre ensemble » dans la classe ou dans
l’établissement. Ils avaient le mérite de rappeler que l‘EPLE ne peut pas
être un lieu où s’exerce la toute-puissance, où le droit et la démocratie en
apprentissage sont constitutifs de la formation à la citoyenneté et de la
formation à la vie sociale. En revenant sur une partie de ces textes,
accordant le droit aux punitions collectives, elles vont compliquer la tâche
de la vie scolaire qui va être dépossédée de ses moyens de médiation et de
la direction puisque l’enseignant ne sera tenu qu’à l’informer.
Finalement, au fil de l’application de ces textes de
juillet 2000, et notamment pour les élèves, s’instauraient dialogue,
confiance, sentiment d’être valorisé dans sa parole et dans sa personne.
Les punitions collectives vont annihiler cet espace de dialogue, de
confrontation. Elles exaltent la dénonciation, le sentiment d’injustice qui
vont générer des conflits, des violences. Qui va admettre de se faire punir
à la place d’un autre ? Quel parent acceptera de voir son enfant souffrir du
comportement d’un autre ? Les plaintes vont d’avantage pulluler et engorger
le bureau des responsables des EPLE et de la justice.
D’autant plus que certains enseignants ou CPE vont punir
collectivement par commodité ou par peur d’affronter l’élève fautif,
celui-là même qui s’impose comme un petit caïd, qui terrorise. Qui en
sortira grandi ? Les risques de désorganisation, de pression, de tensions,
de manipulation engendrés par une telle mesure me semblent plus forts que
ceux visant à restaurer la liberté pédagogique, l’autorité des enseignants
dans leur classe ou des personnels.
Et d’ailleurs qui était demandeur d’un tel retour, tout
acteur conscient sait combien cette mesure mettra le feu dans certains
établissements sensibles, où il suffit de peu pour que la classe échappe à
tout contrôle. Bien sûr, tous les actes de violence, d’anti-pédagogie
n’étaient pas expliqués, certains auteurs ont pu et/ou su se mettre à
l’abri mais cet état de fait est le même pour la société, tous les délits ou
crimes ne sont pas résolus, loin de là. Ce n’est pas pour autant que l’on
condamne tout un village parce qu’un de ses habitants se livrerait à un
assassinat ou à un viol. Et s’il y a dénonciation, cette démarche ne peut
être qu’une affaire de conscience et de responsabilité individuelle,
souhaitant faire progresser la justice, et non une contrainte. Sinon, il n’y
a plus de citoyenneté responsable, plus de conscience. A chacun d’assumer
ses actes et d’en recevoir la sanction qui va avec. Ou de ne pas l’assumer
en sachant qu’un jour ou l’autre il sera démasqué. Mais s’il revient aux
autres de payer pour un élève fautif, le petit jeu va consister à prendre la
classe en otage et à placer l’enseignant en constante difficulté. L’intérêt
pour lui est de sortir du face-à-face et de faire appel à une tierce
personne, plus objective, capable de dénouer le tissage quelques fois très
entrelacé.
Les punitions collectives ne favoriseront ni l’efficacité
ni la justice. Bien au contraire ! Peut être que finalement, il existe un
lien entre la nouvelle composition du conseil de discipline et la
réinstauration des punitions collectives.
3)
La
suppression des TPE au service de la liberté des élèves ?
La suppression des travaux personnels encadrés (TPE)
confirmée par un décret récent malgré un avis négatif du conseil supérieur
de l’éducation interpelle aussi. Les TPE qui datent de 1999 avec la
réforme des lycées étaient appréciés des élèves, des parents et des
enseignants. Les TPE permettent la mise en synergie des disciplines, la mise
en commun, la réflexion et l’organisation autour d’un projet commun, ils
favorisent le travail en groupe, la méthodologie de la recherche,
développent l’implication et la motivation de beaucoup d’élèves qui voient
en eux un décloisonnement et une valorisation de leur travail.
Les TPE constituent aussi une excellente préparation aux
méthodes d’organisation et de travail qu’exige l’enseignement supérieur. Et
voilà qu’ils sont déclarés inefficaces, voire irréels puisque la plupart des
heures dévolues seraient allouées au bachotage selon le ministère. Curieux !
En se faisant pointer ainsi, les enseignants ont-ils l’impression d’être
renforcés dans leur autorité pédagogique et dans la confiance que leur fait
leur hiérarchie ?
Voilà une mesure, comme les projets pluridisciplinaires à
caractère professionnel (PPCP) en lycées professionnels ou les itinéraires
de découvertes (IDD) aux collèges, qui réduit justement les inégalités, est
efficace et qui devient, d’un coup de baguette magique, nuisible et est donc
déclarée inapte. Pour être remplacée par quoi, de plus juste et de plus
efficace ? Rien ! Pour le moment.
4)
Le
redoublement , quels objectifs ?
Le redoublement sera, si le projet va au bout, in fine du
ressort du chef d’établissement. S’il est affligeant de constater que les
élèves passent de cycles en cycles, de classe en classe sans savoir lire,
écrire, compter, l’on sait aussi que le redoublement est loin d’être une
solution efficace pour de nombreux élèves. Certains élèves auront beau
redoubler 2 ou trois fois qu’ils n’acquérront pas les bases. Il leur faut
d’autres structures plus adaptées, d’autres pédagogies. Ils quitteront au
bout d’un certain nombre de redoublements l’école sans qualification, ils
viendront gonfler les chiffres des élèves ayant quitté le système sans avoir
acquis le socle commun. Il faut plutôt réfléchir sur comment faire pour
prendre en compte ces élèves en difficultés d’apprentissage. Les aider à
apprendre autrement, les intéresser d’abord à la chose scolaire, apporter
certaines solutions à leurs difficultés sociales, psychologiques avant de
vouloir leur inculquer du savoir, de penser à d’autres méthodes
d’acquisition des connaissances et des compétences, avant de signer un
contrat individuel de réussite avec eux… Le redoublement correspond aux
élèves qui, s’inscrivant déjà dans une démarche d’intérêt pour l’école,
n’ont pas pu ou su à un moment précis acquérir les savoirs et compétences
pour prétendre à la classe supérieure. Ces élèves qui ont effectivement
besoin d’une aide et/ou d’une année supplémentaires pour mûrir et affermir
leurs connaissances et compétences. Posons-nous la question, pourquoi le
redoublement quasi inexistant dans certains pays, proches de nous, n’empêche
pas les élèves d’avoir un niveau plus élevé que les nôtres. Et toutes les
études récentes n’ont-elles pas démontré l’efficacité toute relative du
redoublement.
5)
La
nouvelle troisième, une vraie classe … ?
De même la classe de 3ème projet à voie
professionnelle dit 3ème PVP qui a pour but de favoriser la
découverte des matières professionnelles, du lycée professionnel et du monde
de l’entreprise est-elle une chance lorsque l’on sait combien le lycée
professionnel a été désarmé, « désoutillé » pour former les élèves aux
exigences du monde professionnel ? Les horaires des matières
professionnelles ont été fortement abaissés, les stages réduits en peau de
chagrin, la démotivation des élèves de certaines sections arrivés par défaut
ou faute d’une orientation bien préparée, ou encore déçus par ce qu’ils y
font, il faudra revaloriser le lycée professionnel, l’apprentissage et
l’alternance avant de promouvoir la 3ème PVP. Quels élèves
pourront y accéder, quelles modalités d’affectation ? Est-ce une 3ème
pour ceux qui ne savent pas quoi faire, en échec scolaire ? Où sera-t-elle
implantée, en collège, dans les lycées professionnels ? Quelles différences
avec la 3ème d’insertion ?
Une vraie éducation à l’orientation serait peut être
davantage indispensable et étendue du CM1 à la terminale (bac ou bacs pro,
en passant par les BEP et le collège). Et surtout mieux former les
enseignants et les équipes, et pas uniquement les professeurs principaux,
(et encore !) à cette éducation à l’orientation. Elle ne se détermine pas
uniquement en fonction des résultats scolaires ou des préjugés fondés ou
totalement subjectifs sur l’enseignement professionnel et le monde de
l’entreprise.
6)
La
nouvelle loi d’orientation : peut-on en espérer l’émergence d’une école
juste, efficace, ouverte ?
La nouvelle loi d’orientation est-elle porteuse de bonnes
nouvelles ? A voir à l’œuvre. Il faut espérer que la discussion au Parlement
sera plus fructueuse et que la sagesse de nos parlementaires influera sur la
frénésie de Monsieur Fillon.
Le socle commun, il faudra le définir plus précisément,
notamment cette fameuse « culture humaniste et scientifique permettant
l’exercice de la citoyenneté ». Son contenu dissipera-t-il les profondes
inquiétudes des professeurs d’EPS, d’éducation esthétique, de sciences
économiques et sociales ou encore des professionnels des arts et des
défenseurs d’une école où l’approche et la maîtrise des activités
culturelles participent aussi à la réduction des inégalités, à l’ouverture
au monde, à la construction des représentations et de la vision de la
société française et du monde dans leur multiplicité et complexité. Si
comme court la rumeur, sans doute infondée, l’EPS, l’éducation esthétique,
les sciences économiques et sociales, les pratiques culturelles,
l’apprentissage des langues anciennes ou rares ne deviennent que
facultatives, optionnelles, l’école deviendra-t-elle ainsi plus juste, plus
efficace lorsque l’on sait que les élèves de milieux favorisés eux auront
accès au sport, au théâtre, aux livres, aux musées, aux cours particuliers
et que l’accès à la culture constitue une des possibilités de découvrir son
environnement, sa société et le monde.
Par ailleurs, l’idée de mettre en place un contrat
individuel de réussite visant par des dispositifs et des actions à
concourir à la réussite scolaire peut se révéler une bonne idée s’il
mobilise l’ensemble des équipes pédagogiques et éducatives, et non pas
uniquement enseignantes, et s’il comporte des aspects concrets de pédagogie
adaptée. Et que faire si ce contrat est refusé par l’élève ou ses parents ?
Que faire si en cours de route, il est abandonné ? Combien de temps
durera-t-il pour se révéler efficace ? L’élève sera-t-il évalué comme les
autres qui ont pu suivre normalement ?
Et les élèves à qui on ne pourra proposer ni le
redoublement ni un contrat individuel ni un approfondissement du socle
commun, ceux qui n’ont pas leur place dans une structure telle que l’EPLE,
que devrons-nous leur proposer ? Resteront-ils au sein de l’école en
attendant de les exclure du système ? On n’aura donc pas atteint l’objectif
des 100% de jeunes qui doivent quitter l’école munis d’une qualification.
Les classes relais, (ou les dispositifs relais : ateliers ou classes) même
triplées ou quintuplées ne permettront pas de relever ce défi.
Quant à la classe de 2nde restera-t-elle, ou
plus précisément, deviendra-t-elle vraiment une classe de détermination et
non de pré orientation pour l’enseignement supérieur.
Enfin, la vie scolaire est superbement ignorée dans ce
projet de loi. On n’y parle ni des conseillers principaux d’éducation (CPE),
de leurs missions actuelles ou à venir, ni des instances représentatives et
associatives, ni de l’établissement scolaire comme lieu de vie. Plus grave,
le CPE ne semble plus faire partie de l’équipe pédagogique puisque le texte
ne fait référence qu’aux enseignants lorsqu’il évoque le futur conseil
pédagogique, la transmission des connaissances. Même la note de vie
scolaire, en soi une erreur puisqu’il y aura amalgame entre évaluation et
comportement (une appréciation motivée plutôt qu’une note chiffrée à la
rigueur) qui doit être attribuée pour l’obtention du brevet, et sans doute
pour celle du bac, on ne sait pas si les CPE y seront associés.
Conclusion
Le projet de loi est appelé à évoluer et il faudra attendre
avant de juger même si l’orientation et/ou la timidité de certaines mesures
interrogent, inquiètent.
Monsieur Fillon veut restaurer l’autorité pédagogique et
institutionnelle des enseignants et des personnels, c’est en vérité une
demande constante. La société nous fait peur, l’école en subit les
soubresauts. Il n’y a plus de sanctuaire, il nous faut nous ouvrir les uns
vers les autres pour nous écouter, nous comprendre et vivre ensemble.
Certes, l’école est d’abord le lieu des apprentissages,
fondamentaux ou étendus, certes l’école doit être un lieu où les élèves et
les personnels se trouvent en totale sécurité physique et morale mais elle
ne peut être totalement fermée non plus. Les élèves ne sont pas qu’élèves,
ils ont au moins une triple vie (école, famille, amis ou fréquentations),
quelques fois quatre ou cinq (quartiers, justice), et nous ne pouvons nier
totalement ces vies, elles influent de toute manière sur la scolarité du
jeune.
Restaurer l’autorité consistera à mon sens à aider aux
personnels à la construire car l’autorité ne se décrète pas, elle se
construit. Les enseignants comme les autres personnels auront plus
d’autorité et de crédit s’ils ont davantage les moyens pour aider les jeunes
à réussir, à se construire, à se former et à s’insérer. Ces moyens ne sont
pas que matériels ou financiers, ils sont divers et variés. Et l’autorité
existe que si elle est reconnue par ceux sur lesquels elle est exercée. Et
nous ne serons point reconnus par les élèves et par les parents comme
dépositaires d’une certaine autorité, d’une légitimité, si nous imposons,
si les sanctions tombent du ciel sans explication, sans dialogue, parce
qu’elles ne seront pas éducatives, elles ne favoriseront pas la prise de
conscience et ne viseront pas à aider le jeune à assumer seul ses
responsabilités. Si le jeune a le sentiment d’être victime de notre
injustice, de notre pouvoir sans limites. Si nous lui imposons le
redoublement sans rien lui proposer avant, pendant et/ou après, en
contrepartie, pour légitimer le bien-fondé. Si nous utilisons le conseil de
discipline pour nous faire plaisir ou à des fins d’obtention de la paix
sociale, alors que des mesures de remédiations demeurent possibles. Si nous
ne lui offrons pas la chance de réussir concrètement sa vie personnelle,
sociale.
La mission de notre ministre consiste, si j’ai bien compris
les promesses du candidat Jacques Chirac lors des campagnes présidentielles
en 2002, réélu depuis Président de la république, à réformer l’école en
réduisant les inégalités sociales, en apportant de nouvelles réponses plus
appropriées, en l’adaptant aux exigences nouvelles, en l’engageant avec
outils et armes dans le 21ème siècle.
A suivre, alors !
Gardy BERTILI
Conseiller Principal d’Education
(C.P.E.)
LP Jean Perrin à Saint-Cyr L’Ecole